Jusqu’au
9 mars 2014 à la Gaîté Lyrique s’est déroulée l’exposition
fraîche et légère The Happy Show . Pour vous décrire le sujet vite
fait, en 1H30, vous aviez la possibilité de découvrir le journal intime de Stefan Sagmeister, un
designer de grand talent, qui essaie tant bien que mal de nous donner ses
astuces pour être « heureux » et enfin toucher du doigt le
« bonheur ». Une thématique
qui tombe à pic pour les dépressifs du début d'année d’ailleurs, ceux qui succombent à la rudesse de l'hiver pour se rouler tragiquement dans leur misère.
Ou peut-être
que tout cela vous inspirera, comme moi. Auquel cas, cotisons-nous et envoyons
leur des bouquets de fleurs ! ^^
Bref,
comme bon nombre de grises mines parisiennes, je m’y suis moi-même rendue,
histoire de voir s’il était possible qu’une expo arrive à transformer un
pessimisme persistant en un optimisme facile.
Oui, on cherche des révélations un peu partout des fois, c’est comme
ça !
Au final, j’en suis ressortie comme j’y étais entrée, c’est-à-dire pas plus triste, pas plus mal et pas plus heureuse non plus. Néanmoins, quelques heures plus tard, j’ai commencé à textoter les copines pour leur transmettre une petite expression toute bête :
Au final, j’en suis ressortie comme j’y étais entrée, c’est-à-dire pas plus triste, pas plus mal et pas plus heureuse non plus. Néanmoins, quelques heures plus tard, j’ai commencé à textoter les copines pour leur transmettre une petite expression toute bête :
Et
chose encore plus étrange depuis, cette sorte de « nindo » que je n’utilisais
jamais avant, trotte en permanence à
l’arrière de mon crâne, visible et incontournable comme un sticker sur un
frigo. L’expo Happy Show aurait-elle
insidieusement fait son œuvre sans que l’on s’en rende compte ?
Alors,
alors, pourquoi je voulais vous parler de tout cela ? Bah, en fait, c'était juste pour expliquer pourquoi j'ouvrais cette page. Tout simplement. Pourquoi, un jour, j'ai décidé de franchir le pas, d'avoir du "guts". Et puis aussi, en citant mes sources, si un jour vous avez envie de vous plaindre de mes articles, vous saurez à qui vous adresser. Envoyez vos gros mots à ce Stefan ! Ou, tiens, tant que j'y pense, vous pouvez également vous adresser à Monsieur Yann Martel. Lui aussi a joliment réussi à m'agacer comme un petit grain de sable mal placé avec cette phrase bien trouvée :

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