A un moment de ma vie, j’ai cru que la vaporette était la solution miracle pour arrêter de fumer de manière définitive. Encore jeune, influençable, et surtout entourée d’un millier de boutiques devenues bien plus nombreuses que les pharmacies (et il y en a pourtant déjà masse). Cette aventure faisait « sens », comme disent les gens du marketing chic.
Début de l’épopée, 1ère tentative
Pour
reprendre la genèse de l’histoire (« genèse » étant clairement mon
mot préféré du moment, il n’est pas impossible que je le replace un peu plus
bas dans l’article), il y a eu une époque où j’ai osé penser pouvoir y arriver
seule, ou presque. C’est-à-dire avec juste avec un patch collé secrètement sous
mon slip, sur la fesse droite plus exactement, et surtout avec une bonne dose
de volonté.
Et c’est là
que je me suis totalement fourvoyée. C’était il y a 10 ans et le bilan
douloureux, je le partage avec vous :